
DUBAI (Reuters) - L'Iran a arrêté plusieurs personnes présumées parties prenantes d'une vague d'empoisonnements dans des écoles et accusé certaines d'entre elles d'être liées à des médias d'opposition basés à l'étranger et aux récentes manifestations, selon un communiqué des autorités relayé mardi par la presse officielle. Depuis novembre dernier, plus d'un millier d'écolières sont tombées malades à la suite d'un empoisonnement, d'après les données de la presse officielle et des autorités. Des politiciens ont dit y voir les agissements de groupes religieux opposés à l'éducation des jeunes filles.