
ROME (Reuters) - La présidente du Conseil italien, Giorgia Meloni, s'est dite prête à discuter des propositions sur un salaire minimum émises par ce qu'elle a appelé des partis d'opposition raisonnables. Giorgia Meloni, qui est arrivée au pouvoir en octobre dernier, n'est pas favorable à l'introduction d'un salaire minimum, arguant que ce n'était pas la solution pour augmenter les salaires chroniquement stagnants des Italiens. Le problème des salaires m'intéresse, il y a (une partie) de l'opposition qui se comporte de façon raisonnable, polie et sérieuse, a-t-elle déclaré à la radio Rtl, ajoutant qu'il fallait faire preuve d'ouverture.