
Jean Castex a constaté jeudi le malaise dans le corps judiciaire mais a surtout défendu l'action du gouvernement et répété sa détermination à poursuivre ce qui avait été engagé, lors d'un débat à Toulouse avec des professionnels de la justice, étudiants et citoyens. Il y a un malaise dans le corps judiciaire. Il y a une confiance dans la justice qui s'érode, a observé le Premier ministre, en admettant que de tout cela, l'Etat est responsable, faute d'avoir porté l'attention au service public de la justice que celui-ci mérite.