
L'Iran restreint d'une manière sans précédent la coopération avec l'Agence internationale de l'énergie atomique, qui est comme prise en otage, déplore son directeur général Rafael Grossi à l'AFP. L'instance peine depuis 2021 à contrôler le programme nucléaire iranien, qui ne cesse de monter en puissance bien que Téhéran nie vouloir fabriquer une bombe atomique. C'est une situation très frustrante.