
par Crispian Balmer ROME (Reuters) - Les appels se sont multipliés ce week-end en direction de Mario Draghi afin qu'il revienne sur sa décision de quitter la présidence du Conseil et permette à l'Italie d'éviter une nouvelle crise politique. L'ancien banquier central a démissionné la semaine dernière après le refus du Mouvement 5 étoiles (M5S) de le soutenir lors d'un vote de confiance. Le président Sergio Mattarella a rejeté sa démission et lui a demandé de s'adresser au Parlement la semaine prochaine, en espérant qu'il trouverait un consensus pour éviter des élections anticipées en cette période de tumulte international et de tensions économiques.