
La relaxe de Mediapart vendredi, qui avait été attaqué en diffamation par François de Rugy pour un des articles sur son train de vie et ses dépenses qui l'avaient poussé à la démission, est une décision de forme, a assuré l'ex-ministre samedi. La décision du tribunal correctionnel de Paris est une décision sur la forme et non sur le fond. Le tribunal a considéré que les poursuites en diffamation auraient dû être engagées en tant que personne privée et non en tant que responsable public, a relevé l'ancien ministre de la Transition écologique et solidaire sur Twitter.