
par Caroline Pailliez et LEA GUEDJ PARIS (Reuters) - Trois fois par semaine, Loris Foreman, agent d'escale à l'aéroport de Paris-Roissy-Charles de Gaulle, se lève à 4 heures du matin pour partir travailler. Son organisation est bien rodée. En quinze minutes, il prend sa douche, enfile chemise et pantalon, ajuste sa cravate, se brosse les cheveux et part en voiture, café en main.