
Chrysoula Zacharopoulou, la secrétaire d'État chargée du Développement, qui se voit reprocher par des patientes des gestes assimilables selon elles à des viols quand elle exerçait comme gynécologue, a rejeté vendredi ces accusations, les jugeant inacceptables et révoltantes. Après le dépôt de deux plaintes pour viol, Mme Zacharopoulou a été visée vendredi par une troisième plainte pour violences sans incapacité de travail par personne chargée d'une mission de service public, selon le parquet de Paris. La plainte a été déposée jeudi, selon la même source.