
Le géant français des matériaux de construction reste encore un acteur modeste dans cet immense pays, face à l'allemand Knauf. Sa filiale russe est néanmoins l'une de ses plus rentables, dit aux « Echos » son directeur, Antoine Peyrude, qui, après une pause de 5 ans, relance les investissements pour passer de 9 usines à au moins 13.