
Il est 4H05, une masse jaune fluo s'engouffre dans un bus de nuit, en banlieue parisienne. Mohamed Traoré, sans-papiers malien, travaille à l'arrière d'un camion-poubelle. Sa tenue d'éboueur lui permet de passer entre les gouttes des contrôles d'identité: dans quelques minutes, il doit pointer au dépôt.