
La seule solution pour moi c'était la mort, maintenant je veux vivre dit Emmanuelle (prénom modifié), qui a repris espoir à Abidjan au centre d'accueil de femmes et d'enfants victimes de violences, Akwaba Mousso, unique en Côte d'Ivoire par le travail collectif de ses spécialistes. Emmanuelle a 24 ans, le corps frêle, mais le regard vif. Je vivais avec le père de mes enfants et un des jumeaux qu'il avait eu d'une autre union, explique-t-elle.