
Quelques heures après l'annonce de la fin des négociations entre Airbus et Atos, Bercy a annoncé s'être emparé du sujet et vouloir « construire une solution nationale de protection des activités stratégiques » du groupe. Au lendemain de ce communiqué fracassant, des pistes se dessinent mais l'équation à résoudre comporte encore beaucoup d'inconnues.