
ÉDITO: À gauche, la rentrée politique est marquée par le retrait de deux figures de la Nupes pour des violences sur leurs ex-compagnes. Si les leaders de cette coalition, qui a fait des violences sexistes et sexuelles l'une de ses priorités, se doivent a minima d'avoir un comportement conforme aux valeurs prônées, leurs retraits soulèvent certaines questions. L'édito de Ghislaine Ottenheimer.