
Aux portes du désert d'Irak, des milliers de jeunes palmiers-dattiers s'alignent à perte de vue. Ils sont au centre d'un pari de taille: préserver ce symbole national et développer une culture ancestrale un temps menacée. C'est peu dire que ce méga-projet, financé et géré par une prestigieuse institution religieuse de Kerbala (centre), tranche avec le reste des palmeraies irakiennes.