
INTERVIEW. Le vice-président du groupe Renaissance Marc Ferracci, un proche d'Emmanuel Macron, propose de rendre une partie des dépenses publiques temporaires et de conditionner leur pérennité à une évaluation de leurs résultats réels. Une méthode à étudier au moment où Bercy assure chercher des milliards d'économies, notamment pour rassurer les agences de notation.