
Depuis deux semaines, Olaf Scholz, candidat social-démocrate à la chancellerie, caracole dans les sondages. Il est le seul des trois favoris à ne pas avoir fait de gaffe ou de bourde dans la campagne électorale, à six semaines des législatives du 26 septembre. Le très austère vice chancelier et ministre des Finances a certes des atouts, mais les négociations pour la formation d'une coalition gouvernementale s'annoncent particulièrement épineuses.