
Loin des décisions drastiques de Bruxelles, qui veut sacrifier les voitures à essence et diesel au profit du tout-électrique, le gouvernement japonais mise sur l'hybride et à beaucoup plus long terme sur l'hydrogène. Si les voitures électriques représentent plus de 15% du marché français, elles ne séduisent que 1,7% des Japonais. Tokyo veille à préserver les choix technologiques de ses constructeurs nationaux.